AccueilChapitre 5 : Particules microscopiques

Aperçu :

Ces trois grandeurs dites intrinsèques – masse, charge et spin – partagent une même origine dans l’interaction entre des fils d’énergie et la mer d’énergie. La particule n’est pas un point abstrait : c’est une structure tridimensionnelle stable, issue d’un enroulement à verrouillage de phase au sein de la mer. La manière dont la structure se ferme, équilibre ses tensions, organise ses circulations internes et oriente la mer voisine détermine ensemble les valeurs mesurées de masse, de charge et de spin. Ce ne sont pas des étiquettes ajoutées, mais des traits que la structure « fait pousser » d’elle-même. Nous appelons ce cadre la Théorie des Fils d’Énergie (EFT) et, par la suite, nous utiliserons uniquement l’appellation Théorie des Fils d’Énergie.


I. Ce qu’est la masse : coût d’auto-soutien et guidage externe

  1. Image physique :
  2. La masse est d’abord le coût d’auto-soutien nécessaire pour que la structure « vive », et ensuite l’intensité avec laquelle elle guide la mer d’énergie environnante. Plus l’enroulement est fermé, plus la courbure moyenne et l’entortillement sont élevés, plus le réseau de tensions est serré et plus le rythme interne est solidement verrouillé, plus la structure paraît « lourde ». Lorsqu’une poussée externe agit, il faut reconfigurer les boucles et redistribuer les tensions : cette difficulté se manifeste comme inertie. En parallèle, un enroulement stable réécrit localement la carte de tensions en une pente douce orientée vers la structure, qui canalise les trajectoires et plafonne les vitesses des particules et paquets d’ondes passant à proximité : c’est l’apparence de la gravité.
  3. Les boucles fermées portent une circulation azimutale verrouillée en phase et une orientation globale moyennée dans le temps (avec précession et jitter faibles, sans exiger une rotation rigide de 360°). Au loin, ne subsiste qu’une attraction isotrope, unifiant les apparences de masse et de gravité. À l’échelle galactique, la somme statistique d’innombrables structures brèves produit une « gravité de tension » de fond.
  4. Points clés :

II. Ce qu’est la charge : biais radial de tension au proche champ et critère de polarité

  1. Image physique :
  2. La charge n’est pas une entité ajoutée, mais l’apparence d’une texture d’orientation au proche champ. Les fils ont une épaisseur finie ; si la spirale verrouillée en phase dans la section n’est pas uniforme (plus forte côté interne qu’externe, ou l’inverse), elle grave dans la mer voisine une texture radiale orientée.
  1. Points clés :

III. Ce qu’est le spin : rythme de boucle fermée et couplage chiral

  1. Image physique :
  2. Le spin est la signature chirale de la circulation interne en boucle fermée et du rythme de phase. Le flux dirigé dans la boucle et l’évolution de phase définissent la chiralité ; le nombre de couches et leurs couplages fixent l’amplitude du spin et ses modes discrets. Même sans translation, une boucle verrouillée autour d’un axe organise au proche champ une recirculation azimutale locale, perçue comme un moment magnétique intrinsèque. Sous champ externe, l’orientation du spin précesse : c’est l’interaction naturelle entre circulation interne et domaine d’orientation externe. Le spin se couple aussi à la spirale de section : ses non-uniformités ajustent subtilement le moment magnétique de proche champ et les détails de profils de raies, fournissant des empreintes structurelles.
  3. Points clés :

IV. Une « fonction structurelle » intégrée

  1. Même origine :
  2. Toutes trois découlent des mêmes contraintes géométrie–tension. Degré de fermeture, intensité de courbure, stratification de torsion, répartition du flux, non-uniformité de la spirale de section, texture des domaines d’orientation et couplage à l’environnement déterminent ensemble les modules et directions de la masse, de la charge et du spin.
  3. Interdépendances :
  1. Étalonnage par l’environnement :
  2. La tension locale règle à la fois le rythme interne et l’intensité de couplage. La même structure voit sa fréquence apparente et son amplitude se mettre à l’échelle de façon cohérente d’une région à l’autre, ce qui maintient la cohérence des mesures locales ; les différences n’apparaissent qu’au comparatif entre environnements.

V. Empreintes observables et vérifications possibles

  1. Liées à la masse :
  1. Liées à la charge :
  1. Liées au spin :

VI. Réponses brèves aux questions fréquentes


VII. En résumé

La masse est le coût d’auto-soutien de la structure et sa force de guidage externe, l’isotropie lointaine étant préservée par la moyenne temporelle ;

la charge est un biais radial d’orientation au proche champ, dont la polarité est définie par le sens de l’orientation ;

le spin est la chiralité d’une circulation interne fermée et d’un rythme de phase, souvent accompagnée d’un moment magnétique intrinsèque.

Toutes trois ont une origine commune, s’influencent mutuellement et se mettent à l’échelle avec la tension locale : ce ne sont pas des étiquettes ajoutées, mais des traits naturels émergeant de la structure.


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Formule d’attribution recommandée : Auteur : « Guanglin Tu » ; Œuvre : « Energy Filament Theory » ; Source : energyfilament.org ; Licence : CC BY 4.0.

Première publication: 2025-11-11|Version actuelle:v5.1
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